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Les brèves sur... les partiels !

  • L'Alouette
  • 16 avr. 2016
  • 2 min de lecture

Cette fois, on a décidé de traiter d’un sujet qui vous fait peur, qui vous fait trembler… Les… Partiels ! Qu’ils soient passés, qu’ils arrivent, ou qu’on soit en plein dedans, ils nous angoissent. Alors, on a décidé de vous raconter ce que nous avons vu, ou fait ; pour vous faire rire, ou vous rassurer, ou les deux… Réviser un partiel c’est assez ennuyeux, de manière générale. Disons que ce n’est pas trop-trop l’éclate… Mais quand ton voisin est en deuil de David Bowie et qu’il décide de passer l’intégralité des albums, un dimanche, pendant 4 heures, ça peut devenir rock’n’roll.

Puis il y a ceux qui sont tête en l’air. Avoir un partiel ça peut être stressant, mais alors y aller sans sa trousse et sa carte étudiante, ça devient nettement plus angoissant. Mais, le pire, c’est quand un de tes amis te dit « T’es prêt pour le partiel mi semestre de samedi ? » et que tu pensais faire la grasse matinée tout le week-end. Ça, ça fait mal. Mais quand les révisions sont passées, qu’on est prêt (ou pas, mais on s’oblige à y aller) pour ce fameux partiel, on entre dans l’amphi en prenant notre courage à deux mains et se on retrouve noyé dans la foule. Certes, théoriquement il y a la place pour accueillir tout le monde, mais quand on se retrouve entre deux inconnus et que chacun a tout juste la place pour poser sa feuille de brouillon, les choses se compliquent. Alors arrive le moment où on s’installe, où l’on attend patiemment les sujets. Tout le monde parle, tout le monde spécule sur les sujets possibles, mais tout ce qu’on entend sont ces informations si précieuses dont tous semblent être au courant, sauf vous. Des dates, des noms, des termes, des citations… On tente de retenir tout ce que disent nos voisins, qui semblent s’être transformés en Einstein. Finalement, en recevant le sujet, on commence à gratter nos premières idées, et le temps file… Et quand les premières personnes commencent à quitter l’amphi, et claquent les portes comme si c’était le concours du claquage-de-porte-le-plus-violent, rester calme devient un sport de haut niveau. Surtout si tu te trouves près de la porte. Autre problème bien connu dans les partiels : les rangées de chaises. Tu es concentré, t’écris à fond, t’es enfin dans le sujet et tu cartonnes… Puis ton voisin te touche l’épaule parce qu’il veut passer. Alors tu poses tout, soulèves ton manteau, te lèves et perds ton inspiration. Et là, tu as les boules. Mais lorsque tu poses enfin ce point final, que tu te relis (ou pas, par peur de sombrer dans le désespoir), que tu signes et sors de la salle, un énorme poids s’enlève de tes épaules. Une danse de joie, un cri, ou tout simplement un soupir : chacun a sa façon de fêter la fin d’un partiel. La tranquillité revient… Jusqu’au prochain.


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